Nous traversons tous des crises. Qu’elles soient individuelles ou collectives, émotionnelles, physiques ou… sanitaires, elles peuvent faire de gros dégâts. Mais faut-il pour autant les craindre ? Quand une crise survient, elle nous invite à faire des choix, des changements, et à prendre un chemin différent, pour grandir en autonomie. Bien réagir à la crise d’aujourd’hui peut nous préparer à mieux vivre les crises de demain
Sommaire :
- Et si demain, tout s’arrêtait ?
- Le jeûne : une réponse en cas de pénurie alimentaire avec Slobodan Despot
- Les bons réflexes pour survivre en ville
- L’argile
- L’urine
- La crise de nettoyage
- Cinq exercices pour s’auto-gérer émotionnellement
- La sobriété heureuse et inspirante de Pierre Rabhi
- Sur la route... de l’autonomie : témoignage d’itinérance
- La permaculture, boîte à outils de l’autonomie
- 50 astuces pour être plus autonomes en ville
- Le village démocratique de Pourgues
- Adieu citoyenneté, bonjour souveraineté !
- Les graines germées
- Les plantes sauvages
- Les méthodes de conservation alimentaire
- Recettes
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Et si demain, tout s’arrête, si nous nous y sommes préparés, nous serons capables d’accepter ce qui nous arrive. Dans ces conditions extrêmes, l’acceptation du moment présent est une force, un lâcher prise. « On l’a prévu, donc on ne va pas s’affoler. On ne rentre pas dans l’émotion, on ne s’énerve pas. Même dans le noir, on sait où sont les bougies et le briquet. Alors on va les chercher, on les allume, on se pose et on accepte que demain ne sera plus comme hier. Puis on réfléchit à ce qu’on va faire...
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Les crises sont généralement des périodes où le stress et les pensées négatives peuvent s’emparer de nous. C’est pourquoi nous avons sélectionné cinq exercices à pratiquer seul(e), en toute autonomie, pour vous aider à y faire face. En les pratiquant régulièrement, vous arriverez à modifier vos schémas neuronaux, développer une résilience émotionnelle et cultiver plus facilement la pensée positive.
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La permaculture est d’abord une philosophie et un regard sur le monde plus qu’un ensemble de techniques agricoles. « C’est aussi une prise de responsabilités, par rapport à sa place sur terre, résume Andy. Le fait de prendre soin de la Terre, des gens et de partager les surplus : ce sont les trois piliers (éthiques) de la permaculture. ”